Michaël Dreyfus rejoint Rubel & Ménasché en tant que directeur commercial

Marianne Riou

Le diamantaire parisien Rubel & Ménasché poursuit son ascension. Pour l’aider à mener à bien ses projets, l’entreprise s’est adjoint, en janvier dernier, les services d’un nouveau directeur commercial : Michaël Dreyfus. [:] Passionné de haute joaillerie, connaisseur de la chaîne du diamant, il nous parle de sa rencontre avec Rubel & Ménasché, de ses objectifs, de son amour du diamant…

Michaël Dreyfus, qu’est-ce qui vous a amené à travailler aujourd’hui dans le diamant ?

Cela remonte à l’enfance. Mes grands-mères aimaient les bijoux. C’est à leurs côtés que j’ai développé cette passion pour la joaillerie comme pour les pierres…

Vers 13 ans, j’ai donc été présenté à l’un des derniers lapidaires de Paris. Cette rencontre à confirmé mon désir de travailler dans les pierres. Pendant les vacances, j’ai pris l’habitude de me rendre à son atelier pour me familiariser avec le métier de tailleur. J’y ai appris à prendre mon temps, à être sérieux ; surtout, ce tailleur hors pair m’a donné le goût de l’esthétique et du travail bien fait. J’ai eu l’opportunité de tailler toutes sortes de pierres et c’est ainsi que, petit à petit, j’ai découvert le diamant, ce qui n’a pas manqué de susciter mon intérêt…

C’est donc l’amour des pierres et l’heureuse rencontre avec un tailleur qui vous a ouvert les portes du monde du diamant ?

Oui. Pendant l’année qui a précédé mon baccalauréat, je me suis donc inscrit à l’IDS (Institut for Diamond Studies). Après mon bac, je suis entré au service d’un diamantaire parisien pour une année de stage. J’y ai découvert de nombreuses facettes du secteur et mon intérêt pour le négoce s’est rapidement développé. Ensuite, pendant mes 3 années d’armée, j’ai suivi, en parallèle, des cours de gemmologie au GIA. Ça m’a passionné ! J’ai obtenu mon diplôme et suis donc Graduate Gemmologist.
Par la suite, après un an de stage chez le même diamantaire pour affiner mes connaissances, mon envie de rentrer travailler à la bourse de Ramat Gan s’est confirmée…

À 22 ans, je me suis donc envolé pour Israël où j’ai été engagé comme trieur chez un diamantaire. Très vite, j’ai intégré le service commercial : j’aime les relations humaines et le négoce, mais j’ai besoin également de la proximité avec la pierre… Deux ans après, je suis revenu en France afin de développer la branche Europe. J’en ai pris la pleine direction l’année suivante. C’est à ce poste que j’ai rencontré Stephan Wolzok.

Justement, pourquoi rejoindre Rubel & Ménasché ?

C’est une entreprise qui m’a séduit d’emblée. J’ai sympathisé rapidement avec l’équipe : nous avons les mêmes valeurs et j’ai eu le temps de m’en rendre compte en plusieurs années de collaboration…
Rubel & Ménasché est une maison unique : historique, sérieuse, réputée. L’équipe a de l’ambition et a su s’adapter, faire preuve de rigueur, de polyvalence et de créativité pour atteindre le « top » au niveau industriel. On trouve ici une dimension humaine associée à une vision stratégique à très long terme…

J’adhère totalement à cette devise de Rubel & Ménasché : « Ne nous contentons pas de satisfaire les attentes des clients, dépassons-les ! »

Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur vos projets et vos objectifs en tant que nouveau directeur commercial de Rubel & Ménasché ?

Évidemment, développer notre portefeuille en Europe comme à l’international. Ouvrir, également, un éventail de services plus large auprès de nos clients. Je me donne entre 12 et 18 mois pour atteindre ces premiers objectifs.
Enfin, je continuerai à travailler main dans la main avec l’équipe ; j’irai vérifier les pierres, leur qualité, les toucher, ça reste un tel plaisir pour moi ! Et, bien sûr, je compte toujours m’assurer, auprès de nos clients, que « tout va bien » pour eux au moment où ils ouvrent leurs plis. Je reste à leur service 24h/24h. Nos clients doivent être heureux !

Source Rubel & Ménasché