La lettre R&M

L’indice RapNet pour les diamants de 1 carat à -5,3 % en 2019.

En matière de synthétiques, il convient de ne pas être trop créatif en matière de langage. Voici un petit rappel du jargon à utiliser – et des aspects juridiques.

Des changements notables ont été ancrés profondément dans l’industrie du diamant au cours des 10 ans passés. L’industrie que nous voyons aujourd’hui, en ce début 2020, est en phase avec un avenir plus serein, qui se dessine petit à petit et plus précisément.

Comme l’industrie diamantaire n’évolue qu’avec lenteur et modération, il peut être utile d’étudier son parcours sur 10 ans. Que s’est-il passé entre le moment où l’industrie s’est dépêtrée des crises de Lehmann Brothers et le marasme actuel ? Au vu des nombreux changements contradictoires, la décennie a été plutôt confuse.

De Beers vient de fournir à ses clients de diamants bruts et à ses partenaires Forevermark des directives sur la façon de se comporter sur le marché des synthétiques s’ils souhaitent continuer à exploiter son branding.

Les femmes qui achètent leurs propres bijoux représentent un marché en croissance rapide mais les détaillants doivent repenser leur approche pour les attirer.

Le marché diamantaire devrait surmonter ses difficultés actuelles d’ici 2021. Jusque-là, il va connaître une ou deux autres années chaotiques, d’après le rapport annuel sur l’industrie diamantaire préparé par Bain & Co. et le Antwerp World Diamond Centre.

Ces 10 dernières années resteront peut-être dans les mémoires comme celles des super-héros, de Netflix et des « mèmes », mais pour Sotheby’s, elles seront synonymes de bijoux record, puisque les ventes de la division internationale ont totalisé plus de 4,7 milliards de dollars. 

Il n’y a pas si longtemps, De Beers déclarait les années 2010 « Décennie du diamant ». La croissance en Chine et en Inde devait entraîner la demande, alors que les États-Unis engageraient de petites étapes pour sortir de la récession. C’est en tout cas ce que prévoyait Varda Shine, alors responsable du bureau d’approvisionnement de De Beers, […]

Après six ans de développement, la production dans le gisement Luaxe d’ALROSA en Angola devrait démarrer en 2020, a déclaré le gouvernement du pays.

À compter de 2020, ABN Amro modifie ses directives de prêt à l’industrie diamantaire, au motif que le marché est devenu plus efficace et a désormais besoin de moins de crédit. 

Communiqué de presse – En tout début de journée, le 25 décembre 2019, ALROSA a extrait une pierre de la cheminée de kimberlite de Botuobinskaya en Yakoutie. D’après des estimations effectuées par des experts d’ALROSA sur place, ce diamant brut de 190,77 carats présente les caractéristiques d’une qualité élevée.