De Beers Consolidated Mines félicitée pour ses efforts de préservation

Albert Robinson

De Beers Consolidated Mines (DBCM) a remporté le prix « Biodiversité et responsabilité sociale » de Wildlife Ranching SA, en reconnaissance de son approche de la gestion écologique, a annoncé De Beers Group le 30 mars. [:]La société a reçu la récompense pour son approche de la gestion écologique de quatre parcs animaliers privés qu’elle gère dans les provinces du Cap-du-Nord et de Limpopo.

Le jury a retenu « les méthodes rigoureuses » de DBCM, jugées d’un « excellent niveau dans l’industrie », et a cité le succès de ses pratiques durables de gestion de la vie sauvage et de la promotion du tourisme axé sur la faune.

De Beers Wildlife, qui fait partie de DBCM, gère environ 67 000 hectares de terres dans la région de Kimberley, dans le Cap-du-Nord.

Au début des années 70, la société a commencé à introduire dans ses ranches diverses espèces, comme des éléphants, des hippopotames et des crocodiles. Elle a aussi été l’un des premiers éleveurs de buffles exempts de maladies en Afrique du Sud.

La société préserve également sur ses sites plus de 35 espèces déclarées menacées, en péril ou protégées et accueille des populations viables d’antilopes comme les hippotragues noirs, les antilopes rouannes et les tsessebes.

Piet Oosthuizen, responsable senior des propriétés et de l’écologie chez DBCM, a expliqué : « En tant que société, nous mettons un accent fort sur la gestion de la biodiversité depuis de nombreuses années. Pour chaque hectare de terrain concerné par nos activités minières, De Beers Group gère cinq fois plus de terres réservées à la préservation. »

« La gestion de la faune est un privilège et nous nous assurons d’agir de manière à apporter de la valeur à l’écosystème, sans perdre de vue la responsabilité que cela implique. »

De Beers Wildlife travaille également à divers programmes jeunesse liés à la préservation, dont des formations post-scolaires, en partenariat avec Northern Cape Nature Academy. Leur objectif est de soutenir les étudiants qui souhaitent se spécialiser dans l’industrie de la faune. L’enseignement tertiaire est également étayé par deux installations de recherche dédiées, mises à disposition des étudiants.

Source Idexonline